Côte d’Ivoire/ Média: Recor Elohim Group lance un nouvel hebdomadaire général « Abidjan on dit quoi ? »

 

La une du journal « Abidjan on dit quoi ? »

RECOR Elohim Group, entreprise éditrice des médias RECOR Afrik’mag et Recor Afrik média.net a procédé au lancement officiel d’un nouveau média dénommé « Abidjan on dit quoi ? », ce samedi 28 janvier à Abidjan. Il s’agit d’un hebdomadaire de 12 pages qui sortira chaque lundi ou vendredi, dont la première parution est prévue fin février début mars, au prix de 300f. 

« Abidjan on dit quoi ? » se veut une référence dans le paysage médiatique, en traitant avec satisfecit les sujets d’information générale. « Abidjan on dit quoi? est une innovation basée sur des thématiques et des faits de société. Nous pensons que les Ivoiriens ont besoin de connaître la réalité de leurs quotidiens », soutient Paul-César EHOUMAN, DG Recor Elohim Group. Loin d’être un journal à polémique, « Abidjan on dit quoi ? » se positionne comme un canal de critique constructive. 

RECOR afrik'mag est une lucarne de la méritocratie africaine 

 

Le prochain numéro de RECOR Afrik’mag

L’autre temps fort de cette rencontre a été la présentation du tout dernier magazine de RECOR Afrik’mag, qui apparaîtra début Février. Le trimensuel magnifie les 100 meilleures personnalités qui font l’Afrique de l’Ouest. Parmi celles-ci figurent entre autres des politiques, des footballeurs et des directeurs d’entreprises publiques et privées, qui font un travail remarquable pour leur pays. C’est ainsi que Kouassi Gerard PDG de porte' O group, l’entreprise en charge des routes en Côte d’Ivoire est vu comme un modèle de manager. EHOUMAN n’a pas occulté cette distinction : « Il y’a des entreprises qui ont fait assez, vous voyez toutes ces belles routes qui ont été faites, il y’a une entreprise qu’on appelle porte´O BTP qui s’est sortie du lot avec son PDG ».

La ligne éditoriale de RECOR Afrik’mag est une lucarne qui promeut la méritocratie, cette initiative pourrait motiver toute l’intelligentsia africaine. 

DJIBO Amadou